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Après 3A, les diplômés travaillent en France et à l’étranger, en entreprises, en ONG ou en institutions internationales, dans le marketing, la communication, l’ESS, la gestion, le management, le développement ou encore l’humanitaire.
Découvrez des exemples de métiers en parcourant les témoignages de nos diplômés dans la rubrique « Actualités » et en vidéos sur notre chaîne YouTube. Ils parlent de leurs expériences à 3A, de leur métier, et témoignent du plaisir de vivre pleinement ses passions, ses envies et d’aider les autres. Ils sont des images d’avenir.
Voici également quelques fiches métiers (liste non exhaustive).
Missions :
Le chef de projet environnement conduit une équipe à la réalisation de solutions pour le respect de l’environnement au sein d’entreprises privées et publiques. Le chef de projet environnement a pour rôles de réaliser un diagnostic de l’entreprise ou de la commune. Il propose des solutions et alternatives pour réduire la consommation d’énergie (co voiturage, aménagements verts…). Il doit piloter une équipe tout au long du projet. Il gère les budgets alloués au projet. Il doit aussi répondre aux normes légales de protection de l’environnement. Il doit gérer les planning des tâches et respecter les délais. Enfin il gère les ressources internes et externes.
Qualités requises :
Le chef de projet environnement possède :
• Des connaissances affirmées sur les problématiques liées à l’environnement• Des qualités managériales• De la rigueur et le sens de l’organisation• De la résistance au travail sous pression• Un esprit de synthèse et d’analyse
Salaire :
Le chef de projet environnement perçoit un salaire de 35K€ pouvant aller jusqu’à 50K€ pour les chefs de projets confirmés.
Chef de mission, coordinateur, responsable de programme, les appellations varient selon les ONG mais la fonction reste la même : chapeauter la mission sur le terrain. Sur ses épaules repose en grande partie le succès d’un programme.Interlocuteur du siège sur le terrain, interface entre les autorités locales et l’ONG, il est généralement le premier à partir pour préparer l’arrivée des volontaires (obtention des autorisations, recherche d’un logement, etc.). Ensuite, il encadre l’équipe d’expatriés, veille à sa cohésion, réconforte, gère le stress, les tensions et les accrochages qui peuvent survenir entre les volontaires. Du point de vue matériel, il gère la réalisation du projet. Il répond aux problèmes pratiques qui peuvent se poser pendant le déroulement du programme, évalue régulièrement son avancement, veille à son adéquation aux besoins et redéfinit les objectifs, si nécessaire.
L’expérience de terrain prime toutes les formations théoriques. On devient rarement chef de mission sans s’être rôdé plusieurs années au sein d’une ou plusieurs ONG. Selon la nature du programme (médical, alimentaire, éducatif…), on exige souvent de lui des compétences solides dans un domaine précis. Là encore, des qualités très diverses sont requises. Elles sont d’abord humaines : sens de la communication, faculté d’écoute, capacité à diriger, diplomatie. Il faut aussi avoir une grande capacité d’analyse, le sens de l’improvisation et de l’organisation et savoir faire preuve de fermeté et de sang-froid. Un très bon équilibre et une grande solidité sont indispensables. Beaucoup suivent une formation de type « Bac+4 ». La pratique de l’anglais est indispensable.
• Maîtriser l’anglais• Avoir le sens de l’organisation• Savoir gérer une équipe• Etre diplomate• Avoir le sens du relationnel• Avoir de l’autorité
Variable selon la structure et le pays.
Le métier de fundraiser est directement importé des pays anglo-saxons où la recherche de fonds privés est une histoire ancienne et bien rôdée. En France, les associations ont toujours hésité à parler d’argent, notion qui heurte celle de bénévolat. Le fundraiser doit suivre la rigueur d’une collecte de fonds en respectant l’engagement associatif. Etre fundraiser se pratique soit en agence soit en interne dans les associations. L’objectif est la mise en œuvre de moyens de communication, de moyens techniques de prospection, des fichiers pour toucher une cible qui réponde en donnant de l’argent.
Il doit avoir des compétences en gestion et en marketing. C’est votre personnalité qui fera le principal car il faut être, encore une fois, motivé pour résister aux sirènes des entreprises privées qui offrent des salaires parfois trois fois plus importants.Il doit par ailleurs savoir prospecter les entreprises, avoir de bonnes connaissances en anglais, et des compétences en comptabilité.
• Capacité d’écoute• Très bon relationnel• Travail en équipe• Sens de la vente• Motivation à travailler dans l’humanitaire
Il varie suivant l’expérience et la structure.
Basé au sein d’un siège et en charge d’une zone géographique d’exportation, le chef de zone export commercialise les produits de son entreprise dans un pays ou un ensemble de pays étrangers.Son objectif est de développer le chiffre d’affaires de sa société dans la zone attribuée.Il implante et anime dans ce but un réseau de vente local, il peut aussi diriger les filiales déjà en place à l’étranger.En tant que meneur d’hommes, il doit veiller à la motivation et à la formation de son équipe, au recrutement de nouveaux agents et au règlement des litiges avec ce personnel.Il apporte à son équipe locale des outils d’aide à la vente et les accompagne sur le terrain.Il prospecte lui-même de nouveaux marchés, étudie les circuits de distribution, définit une politique marketing propre à sa zone et négocie seul ou avec les agents locaux les plus gros contrats. Il assure aux clients la satisfaction de leurs besoins et à l’entreprise, le respect de sa politique commerciale.
Le chef de zone export doit faire preuve de :
En début de carrière, un chef de zone export gagne entre 35 K€ et 45 K€. Après plusieurs années d’expérience, le salaire démarre autour de 45 K€. Avec dix ans d’expérience, la rémunération du chef de zone export peut dépasser 60 K€. Des primes sur objectifs complètent souvent son salaire de base.
Le chef de produit a la mission de gérer la vie d’un produit, de sa création à sa distribution, en respectant l’enveloppe budgétaire allouée. Ses tâches consistent à analyser les besoins du client et étudier la concurrence. Il crée ou achète le produit qui répondra aux caractéristiques du marché. Il doit définir le positionnement du produit : produit, prix, promotion, place (4 P). Son rôle est de déterminer et coordonner la politique de communication et de promotion. Il suit l’évolution des ventes. Il a pour objectif d’améliorer les résultats en intervenant sur les 4 P et en contrôlant les coûts. Il a également pour mission d’encadrer, le cas échéant, une équipe d’assistants chefs de produit.Il est important que le chef de produit maîtrise : les fondamentaux des 4 P, le fonctionnement de la chaîne graphique, les méthodes statistiques et quelques notions en gestion, l’anglais parfaitement.
Le chef de produit doit également présenter certaines aptitudes telles que :
Un jeune chef de produit gagne entre 25 K€ et 35 K€. Après quelques années à ce poste, il va percevoir une rémunération comprise entre 35 K€ et 45 K€ en moyenne. Plus l’expérience est importante (10 ans) et la taille de l’entreprise conséquente (plus de 500 personnes), plus son salaire sera élevé et pourra dépasser 60 K€.
Cet emploi s’exerce dans les entreprises ayant une structure commerciale. Cette activité nécessite de travailler sous la responsabilité du directeur commercial ou du marketing, en étroite collaboration avec les services techniques, comptables, administratifs et la direction du personnel. Le chef de vente participe à de nombreuses réunions et d’effectuer des déplacements fréquents sur le terrain.Il met en œuvre et réalise, dans son secteur géographique et dans son domaine (type de marché, de produit, de clientèle), la politique commerciale définie par ou avec la direction. Il est également responsable de la réalisation des objectifs quantitatifs et qualitatifs pour les différentes unités (réseaux commerciaux, agences…). Son rôle aussi demande de gérer les budgets, d’analyser les résultats et de prendre les mesures correctives nécessaires. Il recrute les attachés commerciaux, contrôle, anime et forme l’équipe de vente. Un suivi du chiffre d’affaires de chaque commercial, de chaque produit et de chaque client lui est demandé.
Le chef des ventes doit faire preuve de :
Les salaires varient selon l’expérience du chef de vente. La répartition peut s’observer ainsi Débutant : environ 45 K€, un junior : environ 50 K€ et enfin un senior : environ 55 K€.
Le Responsable achats développement durable intervient de manière matricielle au sein de l’entreprise, guidé par une politique développement durable groupe, colonne vertébrale des engagements de l’entreprise sur des référentiels sociaux et environnementaux.
• Etre capable de situer le degré de sa structure en matière de développement durable• Intervenir au sein de tous les services pour réaliser les objectifs en terme de développement durable• Etablir des rapports clairs et chiffrés au niveau opérationnel : cout global d’achat, audits, prise en compte des risques (normes, logistique…)• Integrer les achats en amont des projets pour bien respecter les enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux
Le Responsable achats développement durable bénéficie d’une expérience dans le métier des achats mais peut également être issu d’un métier différent, en fonction de l’activité propre de l’entreprise. a l’heure actuelle du développement de la fonction, en particulier au sein d’entreprises industrielles et « polluantes » les profils techniques sont recherchés.Compte tenu du périmètre international des entreprises concernées et de la globalisation du sourcing, la fonction est forcément en connexion avec l’étranger et nécessite donc un excellent niveau d’anglais.
Le responsable achat en développement durable doit faire preuve de :
• Pragmatisme• Vision à long terme et d’une capacité d’animation pour les divers services à motivés• Bonne communication, car représente le référent interne• Polyvalence, capable d’appréhender une stratégie d’achats durables dans sa globalité
Les grands groupes sont au premier plan : ils sont les plus exposés, mais aussi ceux qui possèdent aujourd’hui les ressources pour s’impliquer dans de grands projets de développement durable. C’est pourquoi ce type de poste s’obtient après une certaine expérience dans le secteur de l’achat. Les salaires peuvent varier entre fourchette comprise entre 50 K€ et 80 K€. cette fonction est également reprise peu à peu par les PME-PMI.
Le responsable logistique coordonne et optimise la circulation des matières premières et des produits de l’entreprise avec pour principal objectif la réduction des délais et des coûts. Son rôle est d’élaborer la politique de gestion des flux et le planning de production. Il traite l’approvisionnement des matières premières. Il sélectionne les transporteurs, les transitaires et négocie les conditions tarifaires. Il optimise le stockage et la manutention. Il doit assurer l’expédition des produits finis. Il assure aussi le management des opérateurs logistiques le cas échéant.
Il est important que le responsable logistique puisse maîtriser les techniques du transport, avoir des compétences en gestion et organisation des flux, connaître le règlement fiscal et juridique en matière de transport. Il doit travailler avec les outils informatiques, notamment pour la GPAO. Il maitrise l’anglais, voire une deuxième langue étrangère.
Certaines aptitudes sont fortement appréciées chez le responsable logistique :
• Le sens de l’organisation• La réactivité et un esprit d’analyse• L’écoute, le tact et la diplomatie• L’aisance relationnelle
Toute expérience confondue, la rémunération moyenne du responsable logistique est comprise entre 24 K€ et 83 K€ (le Guide des Salaires). Un débutant BAC+2 va commencer à 24 K€ quand son confrère ingénieur aura un salaire avoisinant les 30 K€.
L’auditeur analyse le fonctionnement d’un service ou d’une entreprise. Son objectif est d’établir un diagnostic précis d’une entité : chiffres d’affaires, effectifs, points positifs et négatifs, etc. Par exemple, un auditeur comptable a pour rôles de vérifier et de contrôler l’application des normes légales et des règles imposées par la direction au sein des services financiers d’une entreprise. Ses missions consistent à observer et analyser en vue d’un diagnostic. Il réalise des enquêtes internes. Il élabore des propositions et des recommandations de gestion à la direction. Il assure le suivi des opérations. Il doit rédiger un rapport de synthèse sur l’état des lieux du service analysé. Enfin il doit rendre des comptes à la direction.
L’auditeur doit faire preuve de :
• Le sens de l’observation• Un esprit ouvert et curieux• De la rigueur et le sens de l’organisation• Un esprit de synthèse et d’analyse• Le sens de la communication et du contact• Une capacité d’adaptation confirmée• Un esprit d’initiative
Le salaire annuel d’un auditeur au début de sa carrière est d’environ 25 K€.
L’analyste financier est rattaché le plus souvent à la direction générale ou à la direction financière. Il s’exerce en mettant en œuvre des techniques sophistiquées (modèles financiers, simulations, exploitation de bases de données économiques et financières…) nécessitant une importante utilisation de moyens informatiques et de télécommunications.Il prend en compte les données financières et tous les éléments susceptibles de modifier l’évolution et la rentabilité d’une société ou d’un secteur de l’économie. Il analyse une entreprise en étudiant ses bénéfices, ses perspectives de croissance, sa situation financière, la valeur estimée de ses actifs en vue de préconiser des opérations d’achat ou de vente. Il doit tisser des relations suivies avec les entreprises concernées. Il étudie les méthodes de gestion, les stratégies de développement, l’environnement économique et social. Enfin il élabore des rapports de synthèse écrits, destinés aux clients.
L’analyste financier doit faire preuve de :
• Excellentes connaissances financières• Capacités d’analyse• Compétences rédactionnelles• Rigueur et d’organisation• Goût prononcé pour les contacts• Maîtrise le stress• Maîtrise l’anglais et une langue supplémentaire
Le salaire varie selon l’expérience, un débutant gagnera environ 30 K€, un junior, environ 40 K€, enfin un Senior, environ 120 K€.
Son rôle : rechercher, analyser et financer un projet, le plus souvent d’ampleur internationale, pour des opérations d’infrastructure de longue durée. Un pont, une usine, une autoroute ou encore un bâtiment doit être construit ? Il intervient alors à différentes étapes du projet, souvent en collaboration avec d’autres organismes bancaires.Dans un premier temps, il analyse le projet et met en place des solutions de financement. Il doit aussi établir le plus précisément possible les risques liés au programme, d’un point de vue financier, économique et technique. Il est également chargé d’étudier les spécificités locales en matière de réglementation. Une fois qu’il a trouvé les éventuels problèmes auxquels le projet pourrait ê tre confronté, il lui faut trouver des solutions préventives ou des aménagements.Lorsque la construction commence, le responsable du financement de projet doit être très attentif à tout incident éventuel. Pour cela, il effectue un suivi régulier des avancées et se tient prêt à intervenir en cas de difficulté.
Le responsable de financement de projet doit faire preuve de :
• Qualités de gestionnaire• Capacité d’analyse• Conscience de la rentabilité d’un projet• Ténacité
Le métier de responsable du financement de projets est assez rémunérateur. Un jeune diplômé pourra espérer débuter sa carrière avec un salaire annuel de 35 K€ et il n’est pas rare que ces professionnels perçoivent une rémunération en fin de carrière supérieure à 80 K€.
Le responsable communication gère les communications à l’interne et à l’externe dans le but de promouvoir une entreprise ou un produit.
Pour assurer la communication en externe, il :
• Organise et supervise les opérations auprès des partenaires• Assure la visibilité de l’entreprise lors d’événements• Met en place des actions marketing pour développer l’image de marque• Gère les relations avec les distributeurs
En interne, le responsable communication :
• Définit la politique de communication de l’entreprise• Eabore la stratégie de communication à l’interne• Prend en charge la réalisation des supports de communication• Analyse les capacités de communication de l’entreprise
Le responsable communication supervise également les dossiers de presse, la réalisation du journal de l’enseigne destiné aux partenaires et celui pour les clients. C’est aussi lui qui représente l’entreprise devant les médias.Les fonctions et les conditions de travail du responsable communication varient suivant la taille de l’entreprise et le budget alloué à la communication. Dans une petite structure, le responsable communication joue un rôle polyvalent.
Le responsable communication doit réussir à mobiliser des partenaires et à faire adhérer les gens. La maîtrise de l’anglais est indispensable et la connaissance d’une ou plusieurs autres langues étrangères est souhaitée.
De plus, ces qualités sont nécessaires pour réussir dans ce métier :
• Contact facile• Aisance relationnelle• Autonomie• Qualités rédactionnelles• Organisation• Rigueur• Disponibilité
Les salaires des responsables communication varient fortement. Un débutant perçoit en général une rémunération d’environ 31 K€, un junior environ 47 K€. Un senior peut prétendre à un salaire moyen d’environ 65 K€. Les primes complètent la rémunération.
Le chargé d’études marketing a pour mission de fournir des données objectives sur un marché qui permettront d’orienter la stratégie commerciale de l’entreprise. Ainsi, son rôle va consister à :• Connaître les besoins du service marketing,• Définir le type d’études (qualitative ou quantitative) et la méthodologie employée (entretien, réunion de groupes, questionnaire, échantillonnage de population, enquête…),• Superviser la réalisation des études,• Gérer les contacts avec les prestataires (instituts de sondage, agences de publicité, centres de documentation…),• Analyser les informations recueillies,• Rédiger un rapport contenant résultats et recommandations,• Transmettre le rapport aux différents services concernés.Le chargé d’études marketing travaille pour des agences de communication, des entreprises de marketing direct et de la VPC (vente par correspondance), des instituts de sondage ou d’études, mais aussi pour des entreprises qui effectuent en interne leurs études. Le chargé d’études peut se spécialiser sur un marché (parapharmacie, boissons…) ou dans un domaine tel que les statistiques, les études de prix, les données qualitatives ou quantitatives. Il est en contact avec de nombreux services de l’entreprise (publicité, vente, communication, direction, voire la R&D, la qualité) et des prestataires extérieurs.
Il est important que le chargé d’études marketing maîtrise :
• L’environnement marketing• Les différents procédés d’entretien• Les méthodes et techniques statistiques• Les logiciels informatiques de traitement d’information et de présentation de données
Pour exceller dans ce poste, il est souhaité que le chargé d’études présente certaines qualités telles que :
• Un esprit d’observation, d’analyse et de synthèse• Une grande rigueur et un sens de l’organisation• Une force de persuasion et une aisance relationnelle• Un goût prononcé pour les chiffres
Un jeune chargé d’études marketing gagne entre 24 K€ et 30 K€ par an. Après trois années d’expérience, il pourra être rémunéré aux environs de 35 K€, et au-delà de 40 K€ une fois acquis plus de cinq ans d’ancienneté.
Le responsable marketing a pour mission de concevoir un plan d’action – pour promouvoir un produit ou un service – et d’en suivre la réalisation.
Pour atteindre cet objectif, le responsable marketing doit :
• Collecter des informations et mener des études marketing pour connaître le marché, la concurrence, les cibles et les opportunités d’un produit• Être force de proposition de nouveaux produits et de nouveaux créneaux• Définir des actions marketing : communication, promotion, distribution, publicité• Superviser et coordonner ces différentes actions• Assister les commerciaux• Encadrer, le cas échéant, des assistants marketing
On retrouve le poste de responsable marketing dans un grand nombre d’entreprises, petites ou grandes, tous secteurs confondus (services, industries, biens de consommation) et aussi dans des cabinets de conseils. Le responsable marketing dépend généralement du directeur de l’entreprise ou du directeur marketing. Ce métier suppose des contacts divers en interne (production, R&D, achats, ventes) comme en externe (publicité, clients…), ainsi que de fréquents déplacements.
Il est souhaité que le responsable marketing :
• Connaisse les outils et les méthodes du marketing• Sache identifier les différents comportements du consommateur• Ait des notions en gestion, en management et dans le domaine juridique• Maîtrise les logiciels bureautiques et statistiques• Parle l’anglais parfaitement et une deuxième langue étrangère
Le responsable marketing doit également démontrer certaines aptitudes telles que :
• Un esprit curieux et ouvert aux autres cultures,• Un sens de l’observation et de l’écoute,• Un goût du travail en équipe,• Des facilités relationnelles,• Une certaine autonomie.
Un jeune responsable marketing gagne environ 30 K€ par an. Sa rémunération pourra passer à 40 K€ voire 50 K€ une fois acquis entre trois et cinq années d’expérience. Au-delà, il peut espérer percevoir une rémunération supérieure à 75 K€.
Le Responsable développement durable est en charge d’insuffler et d’animer la stratégie développement durable de l’entreprise en fonction des priorités définies par la Direction générale. Il est l’interface entre les acteurs de l’entreprise et ses parties prenantes (clients, fournisseurs, sous-traitants, institutions publiques et associatives…). il doit être capable de :
• Mettre en place les principes du DD au sein des différentes directions composant l’entreprise, afin d’avoir une stratégie globale• Conseiller et accompagner à la réalisation et la concrétisation de la politique développement durable en actions concrète
La plupart de ces postes sont pourvus par mobilité interne, en particulier dans les grandes entreprises. Le Responsable développement durable a ainsi souvent exercé des responsabilités opérationnelles au sein de son entreprise.
Ses qualités principales sont :
• Sensibilité aux enjeux environnementaux et sociétaux• Forte implication dans des projets transversaux
Dans un premier temps ce poste concernait les grands groupes, la fonction est désormais représentée aussi dans des PME/PMI de taille importante dont l’activité a un impact environnemental avéré. Le périmètre d’action est lié à l’exposition internationale de l’entreprise. Les salaires oscillent selon le niveau d’expérience :• Moins de 15 ans : de 50 K€ à 75 K€• 15 ans et plus : de 70 K€ à 100 K€
Toute création d’entreprise exige la nomination d’un gérant. SARL ou entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, quel que soit le type de société, le gérant possède les pouvoirs les plus étendus afin d’en assurer le bon fonctionnement.Emprunts, investissements, contrats avec les fournisseurs : tout acte signé par ses soins engage la structure dont il assume la gestion globale.Politique commerciale, développement de l’exploitation, produits, services ou prestations proposés : il détermine et met en œuvre la stratégie de la société. Moyens humains, matériels et financiers : il les rassemble et les gère. Son rôle est défini lors de la rédaction des statuts de la société. Ses pouvoirs et ses obligations peuvent donc varier d’une structure à l’autre. Tout comme son statut, une société pouvant être administrée par plusieurs gérants. Gérant majoritaire ou minoritaire, la distinction est faite en fonction du nombre de parts détenues par chacun dans l’entreprise. S’il est associé majoritaire, le gérant peut choisir d’exercer ses fonctions gratuitement. Lorsqu’il ne détient aucune part dans la société, il peut percevoir une rémunération. Fixe ou variable en fonction du chiffre d’affaires et des bénéfices réalisés, cette rémunération est agrémentée de gratifications : là encore, ce sont les statuts de la société qui le déterminent.
Le gérant doit faire preuve de :
• Polyvalence• Autonomie• Compétences solides en gestion, management et relations publiques• Habilité en négociation• Bon relationnel• Rigoureux• Prise d’initiative
Variable selon les structures et selon les résultats de la société qu’il gère.
Le directeur commercial définit une politique commerciale en vue d’accroître les ventes de l’entreprise et d’augmenter le chiffre d’affaires. Il doit manager l’équipe commerciale pour qu’elle applique cette politique et atteigne les objectifs fixés.
Parmi ses diverses fonctions, le directeur commercial :
• Analyse les composantes du marché• Définit des orientations stratégiques• Détermine les actions à mener• Supervise le travail de son équipe et la motive• Consulte fréquemment ses collaborateurs et s’informe sur les tendances du marché• Met en place un réseau de distribution• Assure le suivi des transactions commerciales
Le directeur commercial est rattaché à la direction générale de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il joue un rôle d’interface entre sa direction et les équipes qu’il manage. Il est également en lien avec l’environnement extérieur de l’entreprise et se déplace régulièrement pour rencontrer ses clients.
Le directeur commercial est une personne de caractère, douée en commerce et qui sait fédérer une équipe.
Plusieurs qualificatifs s’appliquent également :
• Focalisé sur les résultats• Adaptabilité• Esprit créatif et positif• Sens des relations• Organisation• Compétences managériales• Rigueur• Esprit d’analyse• Grande résistance à la pression• Force de proposition
Il doit maîtriser une voire plusieurs langues étrangères, dont l’anglais.
Sa rémunération dépend de plusieurs facteurs comme l’expérience, la taille de l’entreprise, le nombre de personnes à diriger et la dimension internationale. Les salaires annuels démarrent à 45 K€ et peuvent dépasser 150 K€. Des primes au résultat sont généralement prévues.
Le directeur administratif et financier d’une entreprise s’occupe de la finance, des ressources humaines ainsi que du respect de l’application des réglementations et de la législation liées à l’activité de la structure pour laquelle il travaille. Le directeur administratif et financier a pour missions de :
• Gérer la comptabilité• Veiller au strict respect de la loi• Gérer le personnel et le service administratif• Établir des prévisions budgétaires• Proposer des solutions fiscales• Coordonner les services dont il a la charge• Valider les contrats émis par la société• Rendre des comptes à la direction
Après quelques années d’expérience, le directeur administratif et financier peut prendre la direction générale d’une entreprise mais aussi exercer comme consultant pour différentes sociétés.
Le directeur administratif et financier doit être polyvalent. C’est un spécialiste de la finance, du droit des entreprises et de la fiscalité. Le directeur administratif et financier a de solides connaissances en outils de gestion informatique. La maîtrise de l’anglais est souvent exigée pour l’exercice du métier.
Le directeur administratif et financier possède :
• Des qualités managériales affirmées• Le sens de la communication et du contact• Le sens de l’organisation• Un esprit de synthèse et d’analyse• Un esprit d’initiative
Le directeur administratif et financier doit faire preuve :
• De rigueur• D’une capacité d’adaptation confirmée
Le directeur administratif et financier collabore avec tous les services de l’entreprise. Il est donc régulièrement amené à se déplacer et ses horaires sont irréguliers étant donné les responsabilités qu’il doit assumer. Le salaire d’un directeur administratif et financier se situe entre 44 K€ et 70 K€ brut par an.